0
Espace membre Se connecter • S'inscrire

Menu principal

Atteindre le contenu
Nature Sciences Santé
  • Accueil
  • Boutique
  • Magazine
    • Nature Sciences SantĂ© Magazine #42 : Edito
    • DĂ©couvrez le Magazine
  • Infolettres
    • DerniĂšre infolettre
    • Infolettre archives
    • S’inscrire Ă  l’infolettre
    • Glossaire
  • Partenaires
  • Contact
Suivez notre actualité sur les réseaux sociaux
  • Abonnez-vous
  • RĂ©abonnez-vous
  • Achetez au numĂ©ro

Infolettre

Infolettre

Infolettre

FlavonoĂŻdes 

et risque de démence

OmĂ©ga-3 

et neuropathie diabétique

Oranges 

et stéatose hépatique

Actualité

Le numéro 42 est disponible !

Lire la suite...

Un magazine sur abonnement payant
(8 numéros)

La couverture du numéro 42 du magazine Nature Sciences Santé

Au sommaire du numéro 42 du magazine Nature Sciences Santé

  • LE REISHI
    DE L’USAGE TRADITIONNEL À LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

    En Chine, il y a des millĂ©naires, considĂ©rĂ© comme Ă©lixir de longĂ©vitĂ© et fort rare Ă  l’état sauvage, il Ă©tait rĂ©servĂ© Ă  l’empereur et Ă  son entourage. Aujourd’hui, la recherche s’intĂ©resse Ă  ses propriĂ©tĂ©s immunomodulatrices, antioxydantes, anti-inflammatoires et hĂ©patoprotectrices.
  • RENFORCER VOTRE SYSTÈME IMMUNITAIRESon rĂŽle est de protĂ©ger l’organisme des agresseurs extĂ©rieurs et internes : virus, bactĂ©ries...
    GRÂCE AUX HUILES ESSENTIELLES ET À LA GEMMOTHÉRAPIE

    Alexia Jadot, Dr en Pharmacie, experte en aromathĂ©rapie scientifique et gemmothĂ©rapie intĂ©grative, explique quelles huiles essentielles et bourgeons, ainsi que la propolis, peuvent aider Ă  renforcer le systĂšme immunitaireSon rĂŽle est de protĂ©ger l’organisme des agresseurs extĂ©rieurs et internes : virus, bactĂ©ries....
  • DÉPRESSION
    APPORTS DE LA MICRONUTRITION ET DE LA PHYTOTHÉRAPIE

    L’inflammation, une dysbiose intestinale, une perturbation du fonctionnement des neurotransmetteurs et de la rĂ©ponse au stress 
 sont quelques-uns des facteurs impliquĂ©s dans l’apparition d’une dĂ©pression, facteurs sur lesquels des micronutriments comme la SAMe, des acides gras omĂ©ga-3, des psychobiotiques 
 des plantes et extraits de plantes tels que le griffonia, le safran, la rhodiole ou le millepertuis peuvent avoir des effets bĂ©nĂ©fiques, seuls ou en complĂ©ment de traitements allopathiques.
  • L’ASTAXANTHINE,
    UN ATOUT POUR LA SANTÉ DE L’ƒIL ?

    L’astaxanthine appartient Ă  la grande famille des carotĂ©noĂŻdesLes carotĂ©noĂŻdes sont des pigments naturels qui apportent une coloration variant du jaune-orangĂ© ..., dont elle possĂšde les puissantes propriĂ©tĂ©s antioxydantes et anti-inflammatoires. Le stress oxydantLe stress oxydant apparait lorsque l’organisme est soumis Ă  tellement d’attaques par des radica... et l’inflammation Ă©tant impliquĂ©s dans de nombreuses maladies et problĂšmes oculaires, la recherche s’est intĂ©ressĂ©e Ă  ses effets bĂ©nĂ©fiques potentiels.

Bonne lecture 👏

Brigitte Karleskind, Rédactrice en chef

Intéressé-e?
Abonnez-vous!
Achetez le #42 en version papier ou PDF : Cliquez ici

N’hĂ©sitez pas Ă  en parler autour de vous !

0 Partages
Partagez
Tweetez
Partagez

Flavonoïdes et risque de démence

FlavonoĂŻdes

et risque de démence

Une alimentation riche en flavonoïdes aiderait à diminuer le risque de démence, plus particuliÚrement chez les personnes présentant une hypertension, des symptÎmes dépressifs ou un risque génétique élevé de ce syndrome.

La prĂ©valence de la dĂ©mence continue d’augmenter dans le monde entier. Certains facteurs de risque sont non modifiables et c’est notamment le cas de l’ñge et de la gĂ©nĂ©tique. Des donnĂ©es provenant d’études de cohortes montrent, Ă  cĂŽtĂ© de cela, que des facteurs de risque modifiables comme l’alimentation jouent un rĂŽle important dans la prĂ©vention.

Ainsi, un suivi plus Ă©levĂ© d’une alimentation Ă  base de vĂ©gĂ©taux a Ă©tĂ© associĂ© Ă  un risque 21 % plus faible de dĂ©velopper des troubles cognitifs et Ă  un risque 40 % plus faible de maladie d’Alzheimer. De plus, une alimentation riche en aliments sains Ă  base de vĂ©gĂ©taux a Ă©tĂ© associĂ©e Ă  un plus faible risque de dĂ©mence.

L’intĂ©rĂȘt des flavonoĂŻdesLes flavonoĂŻdes donnent leur couleur brune, rouge, jaune, violette ou bleue aux fleurs et aux fruit...

Les flavonoĂŻdesLes flavonoĂŻdes donnent leur couleur brune, rouge, jaune, violette ou bleue aux fleurs et aux fruit... sont un groupe de composants polyphĂ©noliques que l’on trouve dans les aliments et les boissons issus de vĂ©gĂ©taux, tels que le thĂ©, le vin rouge ou le chocolat noir, qui ont Ă©galement Ă©tĂ© associĂ©s Ă  un plus faible risque de dĂ©mence. Des donnĂ©es indiquent ainsi qu’une consommation Ă©levĂ©e de baies et de thĂ© est spĂ©cifiquement associĂ©e Ă  un plus faible risque de dĂ©clin cognitif et de dĂ©mence.

Les mĂ©canismes supposĂ©s expliquer les effets neuroprotecteurs des flavonoĂŻdesLes flavonoĂŻdes donnent leur couleur brune, rouge, jaune, violette ou bleue aux fleurs et aux fruit... alimentaires incluent notamment la rĂ©duction de la neuroinflammation et l’amĂ©lioration de la circulation sanguine cĂ©rĂ©brovasculaire. Par ailleurs, de nombreux mĂ©tabolites des flavonoĂŻdesLes flavonoĂŻdes donnent leur couleur brune, rouge, jaune, violette ou bleue aux fleurs et aux fruit... sont capables de s’infiltrer dans la barriĂšre hĂ©mato-encĂ©phalique, d’influer sur l’axe microbiote-intestin-cerveau et de moduler la voie neuronale de transduction du signal associĂ© Ă  la plasticitĂ© synaptique.

Quelle association avec le risque de dĂ©mence ?

Une vaste Ă©tude prospective de cohorte portant sur 120 000 participants de la UK Biobank, ĂągĂ©s de 40 Ă  70 ans, a examinĂ© l’association entre des sous-classes de flavonoĂŻdesLes flavonoĂŻdes donnent leur couleur brune, rouge, jaune, violette ou bleue aux fleurs et aux fruit... et le risque de dĂ©mence. Les participants ont Ă©tĂ© suivi en moyenne pendant 9 ans.

L’analyse des donnĂ©es suggĂšre que la consommation de six portions supplĂ©mentaires quotidiennes d’aliments riches en flavonoĂŻdesLes flavonoĂŻdes donnent leur couleur brune, rouge, jaune, violette ou bleue aux fleurs et aux fruit... est associĂ©e Ă  un plus faible risque de dĂ©mence. C’était plus spĂ©cifiquement le cas pour le thĂ©, les baies et le vin rouge. L’association la plus forte Ă©tait observĂ©e avec le thĂ©. Ces associations Ă©taient plus marquĂ©es chez les participants avec un risque gĂ©nĂ©tique Ă©levĂ© de dĂ©mence, ainsi que chez ceux prĂ©sentant des facteurs de risque modifiables comme une hypertension ou une dĂ©pression.

Jennings A et al., Flavonoid-rich foods, dementia risk, and interactions with genetic risk, hypertension and depression. JAMA Network, 2024; 7(9): e2434136.

0 Partages
Partagez
Tweetez
Partagez
Oméga-3 et neuropathie diabétique

Oméga-3

et neuropathie diabétique

Une supplémentation en DHA (acide docosahexaénoïque) modifierait le profil des lipides circulants et réduirait les médiateurs lipidiques neurotoxiques associés aux douleurs des neuropathies diabétiques chez des diabétiques de type 2.

La douloureuse neuropathie diabĂ©tique est considĂ©rĂ©e comme une comorbiditĂ© significative du diabĂšte de type 2. Les traitements pharmacologiques aident environ 50 % des personnes Ă  obtenir un soulagement de 50 % de leur douleur. Jusqu’il y a peu, il existait un consensus pour considĂ©rer l’hyperglycĂ©mie comme Ă©tant la principale responsable de l’apparition de la neuropathie diabĂ©tique.

L’implication de mĂ©diateurs lipidiques

Les neurones du ganglion de la racine dorsale et les cellules de Schwann sont les principales cellules de la protection des processus sensoriels. Ils dĂ©pendent de la production d’adĂ©nosine triphosphate ou ATP par les mitochondriesLes mitochondries sont les usines qui produisent Ă©nergie dont les cellules ont besoin pour fonction... Ă  travers l’axone et des mĂ©canismes de transport mitochondriaux pour distribuer les mitochondriesLes mitochondries sont les usines qui produisent Ă©nergie dont les cellules ont besoin pour fonction... pour le fonctionnement normal des nerfs.

Lorsque l’on expose des neurones du ganglion de la racine dorsale Ă  des acides gras saturĂ©s, on observe une diminution marquĂ©e de la circulation mitochondriale. Enfin, une augmentation des niveaux d’acides gras saturĂ©s entraĂźne une dĂ©polarisation mitochondriale et une perturbation de la bioĂ©nergie mitochondriale et dĂ©clenche l’apoptose des neurones du ganglion de la racine dorsale. Ces donnĂ©es suggĂšrent qu’une surabondance de certains acides gras saturĂ©s perturbe le fonctionnement des mitochondriesLes mitochondries sont les usines qui produisent Ă©nergie dont les cellules ont besoin pour fonction... et joue un rĂŽle critique dans la progression de neuropathies pĂ©riphĂ©riques.

L’intĂ©rĂȘt des omĂ©ga-3

Selon certaines Ă©tudes, les acides gras omĂ©ga-3 ont la capacitĂ© de protĂ©ger les tissus neuronaux du stress mĂ©tabolique induit par les acides gras saturĂ©s. Dans diffĂ©rents modĂšles de douleur, les acides gras omĂ©ga-3 ont montrĂ© qu’ils rĂ©duisaient les lĂ©sions nerveuses et soulageaient les douleurs neuropathiques.

Les effets du DHA

Une Ă©tude a Ă©tĂ© conçue pour dĂ©terminer si une supplĂ©mentation en DHA pouvait rĂ©duire les mĂ©diateurs lipidiques neurotoxiques chez des diabĂ©tiques de type 2 prĂ©sentant des symptĂŽmes de neuropathie. Pendant trois mois, 40 personnes ont reçu quotidiennement 1000 mg de DHA et 200 mg d’EPA (acide eicosapentaĂ©noĂŻque).

Les résultats montrent aprÚs trois mois de supplémentation soulignent le potentiel du DHA à modifier le profil des lipides circulants et à réduire les médiateurs lipidiques neurotoxiques associés aux douleurs neuropathiques. De plus, la supplémentation a augmenté les concentrations de marqueurs neuroprotecteurs. Des études cliniques randomisées en double aveugle sont nécessaires pour confirmer ces résultats.

DurĂĄn AM et al., Dietary docosahexaenoic acid-rich supplementation decreases neurotoxic lipid mediators in participants with type 2 diabetes and neuropathic pain. Nutrients 2024; 16: 4025.

0 Partages
Partagez
Tweetez
Partagez
Oranges et stéatose hépatique

Oranges

et stéatose hépatique

La consommation quotidienne d’oranges rĂ©duirait la prĂ©valence de la stĂ©atose hĂ©patique

Une alimentation enrichie en flavonoĂŻdesLes flavonoĂŻdes donnent leur couleur brune, rouge, jaune, violette ou bleue aux fleurs et aux fruit... a Ă©tĂ© Ă©troitement associĂ©e Ă  la prĂ©vention et au traitement de diffĂ©rentes maladies mĂ©taboliques incluant l’obĂ©sitĂ©, la dyslipidĂ©mie, l’insulinorĂ©sistance, la stĂ©atose hĂ©patique, le diabĂšte de type 2 ou l’athĂ©rosclĂ©rose.

Les bénéfices des flavonoïdesLes flavonoïdes donnent leur couleur brune, rouge, jaune, violette ou bleue aux fleurs et aux fruit...

Les flavonoĂŻdesLes flavonoĂŻdes donnent leur couleur brune, rouge, jaune, violette ou bleue aux fleurs et aux fruit... sont trouvĂ©s en abondance dans les fruits et les lĂ©gumes. En particulier dans les agrumes, et notamment dans les oranges, ils sont prĂ©sents dans le zeste et la membrane sĂ©parant les quartiers du fruit. La narirutine, la tangĂ©rine, la naringĂ©nine et l’hespĂ©ridine sont les principaux flavonoĂŻdesLes flavonoĂŻdes donnent leur couleur brune, rouge, jaune, violette ou bleue aux fleurs et aux fruit... prĂ©sents dans cet agrume. Ils sont tous connus pour leurs propriĂ©tĂ©s antioxydantes, anti-inflammatoires et hypolipĂ©miantes, suggĂ©rant qu’ils puissent offrir des effets bĂ©nĂ©fiques significatifs pour la santĂ© mĂ©tabolique.

La maladie du foie gras non alcoolique

La NAFLD (non-alcoholic fatty liver disease), maintenant appelée MAFLD (metabolic-associated fatty liver disease) pour maladie du foie gras associé à un dysfonctionnement métabolique, constitue la cause la plus courante de maladie chronique du foie. Cette stéatose hépatique non alcoolique est caractérisée par une accumulation de graisse dans le foie.

Les effets des oranges sur le foie

Une Ă©tude randomisĂ©e contrĂŽlĂ©e contre placebo a Ă©valuĂ© les effets de la consommation d’oranges Naveline sur les fonctions hĂ©patiques et mĂ©taboliques de soixante-deux hommes et femmes ĂągĂ©s de 30 Ă  65 ans et prĂ©sentant un MAFLD. Pendant quatre semaines, ils ont consommĂ© 400 g d’oranges entiĂšres (environ 4 oranges par jour) ou 400 g de fruits non-agrumes.

Les rĂ©sultats montrent que la consommation d’oranges a rĂ©duit significativement la prĂ©valence de la stĂ©atose hĂ©patique, indĂ©pendamment de tout changement dans le poids corporel. Ils suggĂšrent Ă©galement que cette consommation, associĂ©e Ă  un rĂ©gime Ă©quilibrĂ© modĂ©rĂ©ment basses calories et Ă  des exercices physiques rĂ©guliers, pourrait constituer une mesure prĂ©ventive efficace pour rĂ©duire la stĂ©atose hĂ©patique. D’autres Ă©tudes devront explorer l’effet Ă  long terme d’une supplĂ©mentation en oranges sur la progression de la fibrose et la santĂ© mĂ©tabolique dans son ensemble.

Notarnicola M et al., Daily orange consumption reduces hepatic steatosis prevalence in patients with metabolic dysfunction-associated steatotic liver disease: Exploratory outcomes of a randomized clinical trial. Nutrients 2024; 16: 3191

0 Partages
Partagez
Tweetez
Partagez

Panier

La couverture du numéro 42 du magazine Nature Sciences Santé

Le #42 est disponible

ABONNEZ-VOUS

En vous abonnant, vous disposez d’analyses en profondeur et d’enquĂȘtes rigoureuses.

Boutique

Magazine

Livres

Vers la boutique

Avertissement

Nature Sciences SantĂ© est un site d’information sur les micronutriments, les plantes et extraits de plantes et le rĂŽle qu’ils peuvent jouer pour la santĂ© et le bien-ĂȘtre. Ces informations ne constituent en aucun cas des diagnostics ou des prescriptions. Elles ne peuvent remplacer un avis autorisĂ©. Avant toute automĂ©dication, consultez un mĂ©decin ou un pharmacien qualifiĂ©.

Nature Sciences Santé

Qui sommes-nous?
Nos Coordonnées
Contactez-nous

Informations Légales

Mentions legales
CGV
CGU

Paiement sécurisé

Menu du pied de page

  • Top
  • Home
© 2025 Nature Sciences SantĂ©. RĂ©alisation: Association St-Camille.
Bienvenue sur Nature Sciences Santé ! En poursuivant votre navigation, vous acceptez l'utilisation des cookies.Ok

Notice: ob_end_flush(): Failed to send buffer of zlib output compression (1) in /home/clients/590a7140c25bea448b76ec62b1fba36f/sites/dev.nature-sciences-sante.eu/wp-includes/functions.php on line 5420

Notice: ob_end_flush(): Failed to send buffer of zlib output compression (1) in /home/clients/590a7140c25bea448b76ec62b1fba36f/sites/dev.nature-sciences-sante.eu/wp-includes/functions.php on line 5420

Notice: ob_end_flush(): Failed to send buffer of zlib output compression (1) in /home/clients/590a7140c25bea448b76ec62b1fba36f/sites/dev.nature-sciences-sante.eu/wp-content/plugins/really-simple-ssl/class-mixed-content-fixer.php on line 107